Judith Suminwa de nouveau au Kongo central : Un périple qui débute chez soi ?
La première Ministre Judith Suminwa est arrivée à Matadi, Chef-lieu de la Province du Kongo central, ce Mercredi 5 Mars 2025. Elle a été acceuillie par le Gouverneur de Province Grâce BILOLO à l’aérodrome de TSHIMPI.
Porteuse d’un message d’eveil patriotique, dans le cadre de la Campagne de sensibilisation et de mobilisation des jeunes contre la corruption et pour le patriotisme dénommée Congolais Telema, lancée le Lundi 3 Mars à Kinshasa, la Cheffe du Gouvernement Judith Suminwa Tuluka vient d’entamer sa tournée nationale par le Kongo Central pour mobiliser la population autour de la défense de la patrie.
Devant les Matadiens venus nombreux écouter son message au Terrain Municipal Damar, Judith SUMINWA appelle à l’unité et à la solidarité nationale : « 30 ans de guerre à l’Est, ça suffit ! Cette terre nous appartient », a martelé la Cheffe du Gouvernement devant une foule enthousiaste.
Oui à l’appel à la mobilisation populaire :
La société civile et les partis politiques ont répondu à l’appel, affirmant leur engagement à soutenir les FARDC pour la défense de l’intégrité territoriale.
Appel au dialogue et cohésion :
Dans la lignée des directives du Chef de l’État, Judith Suminwa prône une mobilisation nationale pour renforcer la résilience du pays face aux menaces extérieures.
La suite de la visite de la Première Ministre au Kongo central prévoit ce Jeudi 6 Mars 2025, une descente à Tombangadio dans le territoire de Songololo, où elle va rendre visite aux nouvelles recrues. La même journée, la Cheffe du Gouvernement va se rendre également à Kimpese où un Meeting est prévue, une descente à l’Université kongo U.K, dans le Site de Luvaka où elle va procéder à la pose de la première pierre pour la construction de faculté d’Agronomie.
Judith SUMINWA va ensuite se diriger au Camp EBEYA pour une visite et enfin pour chutter à Kisantu, dans le Territoire de Madimba pour échanger avec la population au cours d’un autre Meeting, avant son retour à Kinshasa.
🖋 Raphaël Ngoma
